65 ans - France
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"L'étranger reconnu Un étranger passait… Le temps était fragile, un peu comme ces vents que le ciel prend pour cibles. Il allait droit, si droi ..."
" -Mais, ce n'est pas le verbe qui importe vraiment... Pas ce papillon bleu aux ailes si fragiles... cette poussière d'or qu'une bouche répand, ..."
"Toi Tu arrives, tu viens… Les dédales te portent. Les abîmes te croisent et le ciel te répand et ouvre les chemins qui traînent la distance. Tu ..."
" Hier… Hier et, tout était bas. Jusqu'à cet horizon qui tremblait sa disgrâce ; celle que d'être hideux dans un temps absolu dans les rempart ..."
"La fable lourde… Donnez-moi ces épitres où le sang m'attendait Là, dedans cette crypte à peine refermée. Quand, vinrent les diamants ..."
" Dors… Que fais-tu ? Où es-tu ? Es-tu cet étranger, dévêtu par ce temps Oublieux de ces heures qui ne nous ou ..."
"Monsieur, Par deux fois ces temps ci vous me fîtes effeuilleuse et si par ma nature et contre celle-ci, je fus l'obéissance à vous vouloir conquis ..."
" Si j'avais deux milles ans, à ne savoir qu'en faire sinon orner mes flancs de chaînes légendaires ou l'âge de ton dieu ou d'un autre, qu'importe ..."
" Et moi, j'étais un temple ! Tu sais, de ces lieux beaux où parler est blasphème... De ces bastions dressés au centre de plus rien où cert ..."
"... Une lettre d'amour... Une putain à vomir, sans rimes et sans détour... Je ne sais pas le faire... ? ..."
" Nos nuits tentaculaires sont des berceaux de soie et ta voix, ce satin qui recouvre ma peau ! Mon dieu, comme elle est belle, cette inconnue venue? ..."
L'étranger reconnu Un étranger passait… Le temps était fragile, un peu comme ces vents que le ciel prend pour cibles. Il allait droit, si droi ...
-Mais, ce n'est pas le verbe qui importe vraiment... Pas ce papillon bleu aux ailes si fragiles... cette poussière d'or qu'une bouche répand, ...
Toi Tu arrives, tu viens… Les dédales te portent. Les abîmes te croisent et le ciel te répand et ouvre les chemins qui traînent la distance. Tu ...
Hier… Hier et, tout était bas. Jusqu'à cet horizon qui tremblait sa disgrâce ; celle que d'être hideux dans un temps absolu dans les rempart ...
La fable lourde… Donnez-moi ces épitres où le sang m'attendait Là, dedans cette crypte à peine refermée. Quand, vinrent les diamants ...
Un jour, tu sais, je sais qu'il y aura chez m ...
Dors… Que fais-tu ? Où es-tu ? Es-tu cet étranger, dévêtu par ce temps Oublieux de ces heures qui ne nous ou ...
Monsieur, Par deux fois ces temps ci vous me fîtes effeuilleuse et si par ma nature et contre celle-ci, je fus l'obéissance à vous vouloir conquis ...
Si j'avais deux milles ans, à ne savoir qu'en faire sinon orner mes flancs de chaînes légendaires ou l'âge de ton dieu ou d'un autre, qu'importe ...
Et moi, j'étais un temple ! Tu sais, de ces lieux beaux où parler est blasphème... De ces bastions dressés au centre de plus rien où cert ...
... Une lettre d'amour... Une putain à vomir, sans rimes et sans détour... Je ne sais pas le faire... ? ...
Nos nuits tentaculaires sont des berceaux de soie et ta voix, ce satin qui recouvre ma peau ! Mon dieu, comme elle est belle, cette inconnue venue? ...