France
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"Quel choix ai-je donc, me fondre, me lâcher, me perdre à travers le palpable de ton cœur, toucher le lointain inaccessible. Je quitte mon histoire ..."
" Ce soir, je bois ! Tu peux toujours éteindre la lampe Et ta main blanche glissant sur la rampe Monter jusqu'à ta chambre Pour y chercher ton som ..."
Le silence s'habille d'apparat
"Vêtue de silence, je m’égare dans le vacarme de la colère et je me perds dans l’éphémère de ton corps. Il y a autour de l’impatience de to ..."
" Est-ce que le bonheur se dessèche ? Est-ce que la douleur s’arrête ? Est-ce que la mort cessera d’être un rêve ? Est-ce qu’elle s’invite ..."
" Les yeux ravagés d’une ombre d’amertume, la tempête au bord des cils, les lèvres rouges comme la douleur, le vent fouette mon visage fatigué ..."
"Je voudrais aller me promener dans les bois ; j'aurais un grand chapeau, une robe légère, je me griserais d'air et de bonne lumière, et tu me rappr ..."
" Ton souvenir couleur d’or et de sang est pareil à l’automne, mon chant de douleur parfumée s’élève jusqu’aux cieux et dans la brume étr ..."
"Chaque matin j’ouvre la porte du quotidien, celle qui traverse les parois du désarroi, au travers de laquelle j’entends ta voix qui me sourit. ..."
Puisque tes jours ne t'ont laissé
"Puisque tes jours ne t'ont laissé Qu'un peu de cendre dans la bouche, Avant qu'on ne tende la couche Où ton coeur dorme, enfin glacé, Retourne, com ..."
"Il n’y a rien pour assécher la douleur, rien que ne puisse exister pour que le cauchemar s’arrête et que la mort cesse d’être un rêve. Il ..."
" Les nuages roses et blancs du matin s’étirent sur l’horizon, tourbillons ondoyants d'émeraudes fluorescentes, les jours s’égrènent et je s ..."
" Sur l’épaule du temps, la brume s’étire lascive vêtue de céleste paillette, le vent frémit souffle, brûlant sur mon corps endormis. Ce ..."
Quel choix ai-je donc, me fondre, me lâcher, me perdre à travers le palpable de ton cœur, toucher le lointain inaccessible. Je quitte mon histoire ...
Ce soir, je bois ! Tu peux toujours éteindre la lampe Et ta main blanche glissant sur la rampe Monter jusqu'à ta chambre Pour y chercher ton som ...
Vêtue de silence, je m’égare dans le vacarme de la colère et je me perds dans l’éphémère de ton corps. Il y a autour de l’impatience de to ...
Est-ce que le bonheur se dessèche ? Est-ce que la douleur s’arrête ? Est-ce que la mort cessera d’être un rêve ? Est-ce qu’elle s’invite ...
Les yeux ravagés d’une ombre d’amertume, la tempête au bord des cils, les lèvres rouges comme la douleur, le vent fouette mon visage fatigué ...
Je voudrais aller me promener dans les bois ; j'aurais un grand chapeau, une robe légère, je me griserais d'air et de bonne lumière, et tu me rappr ...
Ton souvenir couleur d’or et de sang est pareil à l’automne, mon chant de douleur parfumée s’élève jusqu’aux cieux et dans la brume étr ...
Chaque matin j’ouvre la porte du quotidien, celle qui traverse les parois du désarroi, au travers de laquelle j’entends ta voix qui me sourit. ...
Puisque tes jours ne t'ont laissé Qu'un peu de cendre dans la bouche, Avant qu'on ne tende la couche Où ton coeur dorme, enfin glacé, Retourne, com ...
Il n’y a rien pour assécher la douleur, rien que ne puisse exister pour que le cauchemar s’arrête et que la mort cesse d’être un rêve. Il ...
Les nuages roses et blancs du matin s’étirent sur l’horizon, tourbillons ondoyants d'émeraudes fluorescentes, les jours s’égrènent et je s ...
Sur l’épaule du temps, la brume s’étire lascive vêtue de céleste paillette, le vent frémit souffle, brûlant sur mon corps endormis. Ce ...